mardi 3 novembre 2020

 la fessée à la plage


comme très souvent l'été, je vais à la plage de la Lède, à côté de Royan, vers La Palmyre... autant il y a une plage textile autant il y a une grande plage naturiste, c'est là où je vais... mais ce jour là, j'avais un rendez vous sur le parking avec un monsieur connu sur internet. nous avions rendez vous et je savais ce qui allait m'arriver... il p'avait ordonné par téléphone de l'attendre devant ma voiture et de ne plus bouger jusqu'à ce qu'il arrive. Il faisait chaud l'été dernier, c'était la canicule et j'avais bu beaucoup d'eau... et bien sur j'avais envie de faire pipi... mais voilà, je ne devais pas bouger et attendre le monsieur. je commençais à piétiner sur place, à serrer les cuisses, je voyais des voitures arriver, se garer, les gens partir vers la plage.. j'attendais mais je n'en pouvais plus de me retenir quand d'un seul coup j'ai senti quelque chose d'humide couler sur mes jambes nues. j'étais en train de faire pipi à la culotte.... et bien sur, c'est à ce moment là qu'un monsieur s'est arrêté devant moi. C'était lui, je le reconnus d'après la phot qu'il m'avait envoyé. je suis devenu tout rouge et me suis excusé d'avoir fait pipi à la culotte, lui disant bien que j'avais pas fait exprès mais que je n'avais pas pu me retenir et que je lui avais obéi, ne bougeant de devant ma voiture.
Il n'a rien dit, il m'a attrapé, m'a retourné et penché sur le capot de ma voiture, il m'a d'un coup baissé le short et la culotte et m'a flanqué une fessée forte et rapide qui m'a laissé sans voix, et j'avais peur que des voitures arrivent et que l'on voit tout...heureusement cette fessée fut rapide et juste un couple qui pique niquait un peu plus loin a du entendre le bruit des claques, mais sans rien voir, du moins je crois.
Il m'a redressé, reculotté et m'a dit de le suivre... j'avais les fesses en feu, et les yeux rouges aussi...; et comme prévu au départ,on s'est dirigé vers la plage naturiste. et pour y aller, il faut traverser un bois qui arrive jusqu'aux dunes, puis à la plage... ce bois est connu à un certain endroit pour être un lieu de drague entre hommes et entre couples. je savais ce qu'il voulait mon fesseur... et j'en avais envie aussi, même si j'ai toujours eu peur d'y rencontrer quelqu'un qui me reconnaisse... arrivé dans le bois en question, nous avons vu plusieurs hommes qui se caressaient, sans aucune gêne, puis un peu plus loin des couples et des voyeurs autour de ces couples qui se livraient à des jeux sexuels. en fait il y avait beaucoup de monde. Le monsieur s'est alors assis sur un tronc d'arbre, m'a attiré vers lui, et m'a mis en travers de ses genoux, commençant à me claquer les fesses par dessus mon short toujours mouillé. le bruit de la fessée a attiré des regards, puis des hommes et des femmes qui se sont rapprochés, d'abord en se cachant puis ouvertement. certains étaient en maillots de bains d'autres étaient nus. c'est quand il a vu qu'assez de gens étaient proches que le monsieur m'a baissé le short, disant à haute voix que j'avais mouillé ma culotte et qu'un sale pisseux comme moi méritait la fessée... il ma'a donc donné cette fessée, sur ma culotte blanche, je voyais des hommes se masturber devant moi à à peine deux ou trois mètres, je voyais des femmes qui regardaient, et j'ai senti que ma culotte m'était enlevée, dévoilant à tout le monde mes fesses déjà rougies... il y a eu des ahhhh des rires , des gens parlaient entre eux, derrière moi se réjouissant du spectacle, et la fessée a repris, plus forte, plus rapide, plus cuisante... à un moment j'ai crié, j'ai demandé stop !!! mais non, il a continué jusqu'à ce que j'ai même plus la force de crier.... et mes cris avaient attiré encore plus de monde...d'un seul coup, la douleur s'est effacée en moi, il ne restait que la honte d'être fessé cul nu devant autant de personnes.... puis je fus relevé, les fesses en feu, le zizi bien visible, et tout petit, et le monsieur m'a complètement enlevé mon tee shirt ainsi que le short et la culotte, j'étais tout nu.... j'ai entendu un gars dire "il y a longtemps que je n'avais pas vu une telle fessée !", une femme lui répondre "et moi des fesses aussi rouges" !!! j'étais honteux, d'autant plus que mon fesseur, ayant pris avec lui mes vêtements, me pris par la main et m'entraina vers la plage. nous étions suivis par plusieurs des voyeurs... arrivés sur la plage, il a fallu étendre nos serviettes, et je m'empressais de m'allonger sur le dos pour cacher mes fesses rouges, mais non, mon fesseur a décidé que nous allions nous baigner, alors j'ai descendu toute la plage, les fesses rouges vues de tout le monde, et là honte totale, j'ai entendu plein de "regarde ses fesses " "oh il a pris la fessée le vilain", et je vous en passe, et des rires !!! une fois revenus de se baigner, je m'allongeai à nouveau, sur le ventre et une dame, est venue dire à mon fesseur "faudrait quand même lui mettre de la crème sur les fesses"... j'était mort de honte....mais en même temps, j'aime les fessées, j'aime les fessées cul nu devant tout le monde alors j'ai été servi !!!





 

un weekend à Saumur







sur un site web consacré à la fessée, j'ai rencontré un couple dont le mari 70 ans et la femme 62 m'ont proposé après bien des échanges de messages de venir passer un weekend chez eux. Ce n'est pas trop loin de chez moi alors j'ai accepté. Je savais en gros ce qui m'attendait. Je devrais servir tout le weekend à table eux deux et leurs invités... et subir chaque fois que nécessaire, une fessée déculottée. Rien que cela déjà me plaisait beaucoup....

Lorsque je suis arrivé, j'ai découvert une ferme, assez peu rénovée et fort vétuste. Le couple en question était bien conforme à ce que j'imaginais avec les photos échangées. Lui gros en partie chauve, une casquette vissée sur la tête, elle, les cheveux gris blanc, pas mal foutue sous une robe au genoux. très sèche, elle dégageait un certain charme d'autrefois. Elle me dit qu'elle avait enseigné toute sa carrière dans une école privée. Lui avait été agriculteur, en retraite. On est entré. J'avais emmené un petit bagage léger, ne voulant pas m'imposer.

Le Monsieur, Monsieur Paul, m'a tout de suite mis à l'aise. :" ici ce sera des vraies fessées, pas des fessées d'amateurs comme tu as du en recevoir" Il m'a demandé si j'acceptais, bien sur j'ai dit oui !!! quelle question !!!

il m'a servi un verre pendant que sa femme Madame Louisette est sortie de la grande salle. Elle est revenue alors que je finissais mon verre de vin blanc, avec toute une série d'objets dans les mains : martinet, paddle en bois, paddle en cuir, canne anglaise, badine, etc... je n'en croyais pas mes yeux ! et au milieu de tout ça j'ai vu des godes... elle a suivi mon regard et m'a dit "Paul ne peut plus alors on fait avec". J'étais sidéré par tant de liberté de langage et de pratique.... alors que j'avais été servi d'un deuxième verre de vin blanc, je fus conduit à ma chambre du weekend. Un lit en fer, une place, une armoire et c'est tout.

Comme je demandais où se trouvaient les toilettes, je les vis sourire et ils ne me répondirent pas. Revenus à table, et ayant bu mon troisième verre de vin blanc, Madame Louisette me dit qu'elle était très contente de ma tenue vestimentaire, très scolaire : culotte courte en velours très courte à raz les fesses, tenue avec des bretelles, longues chaussettes grises, et soulier noir. Elle me dit alors qu'il faudrait bientôt vérifier si dessous c'était aussi bien... je rougis et ne dis rien. Puis, j'ai eu envie de faire pipi... je demandais à nouveau les toilettes et Madame Louisette m'a répondu que non, je n'irai pas aux toilettes, je n'avais qu'à me retenir encore. J'ai insisté, et là, j'ai pris une claque sur la joue. je me suis levé d'un bond, et là, une claque sur les cuisses. je me suis rassis et nous avons parlé de mes expériences de fessées, de qui m'en avait donné, de comment, etc etc...je me tortillais sur ma chaise, serrant ma main droite sur mon sexe au travers de la culotte courte... je voyais bien leurs échanges de sourire je savais comment ça allait finir et c'est arrivé. N'en pouvant plus j'ai senti que je faisais pipi à la culotte... bien sur, ça a coulé, inondant ma culotte courte et ruisselant le long de ma chaise. Monsieur Paul s'est levé, m'a pris le bras droit, et m'a courbé sur la longue table en bois. calmement, avec des gestes très maîtrisés, il a saisi le paddle en bis et a commencé à l'appliquer au travers de la culotte courte en velours trempée. Puis au bout d'une vingtaine de coups, il a dégrafé mes bretelles, a fait tomber sur mes chevilles la culotte courte mouillée et a dévoilé ma culotte blanche en coton. il m'a alors couché sur ses genoux et m'a appliqué sur la culotte une magistrale fessée à la main. Ces mains étaient de vrais battoirs, tellement elles étaient rêches et caleuses. Enfin, il m'a baissé la culotte et Madame Louisette a dit que la couleur de mes fesses lui plaisait bien. Elle a dit à son mari de stopper la fessée car sinon "il ne tiendra pas le weekend le pauvre garçon". J'ai été mis au coin et mains sur la tête.

Au bout d'un quart d'heure, Madame Louisette m'a dit que je pouvais me reculotter j'ai demandé à me changer elle a refusé d'un sourire cruel. Je l'ai ensuite aidé à préparer le repas du soir. Et quand j'ai mis la table, j'y ai mis pour 8 personnes. J'étais transi, j'allais servir 8 personnes et prendre des fessées devant eux tous ? moi qui ai toujours aimé recevoir des fessées déculottées en public, j'allais être servi !!!!

les invités sont arrivés, tous de leurs âges sauf... deux d'entre eux. Une jeune femme de 25 ans environ et un jeune homme de 30 ans environs. Là, j'étais soudain moins fiérot... Ils ont tous les deux regardé avec attention ma tenue, et se sont adressé des regards et des sourires complices.... L'une des invités leur a dit que ce soir ils risquaient bien de voir ce qui arrivait au vilain garçon quand il n'était pas sage....j'ai rougi et les deux jeunes aussi... Ils avaient été amené ici chacun par un des invités du couple. j'ai servi l'apéritif et l'un des invité a dit que ça sentait le pipi... Monsieur Paul a dit tout simplement "ben oui le Julien a pissé dans ses culottes". Gros éclats de rire chez ces habitués visiblement des soirées du couple... Quand je me penchais sur la table basse pour prendre le plateau et servir les gâteaux apéritifs, je savais que l'on voyait la naissance de mes fesses, faut dire que Madame Louisette avait remonté mes bretelles autant que possible pour bien dégager mes cuisses... une femme a même dit qu'on voyait un bout de ma culotte et que c'était charmant....

Au moment de passer à table j'ai desservi et ouf pas d'accident, je n'ai rien renversé. Puis j'ai servi à table. Quand je servais les assiettes à chacun, j'ai senti des mains qui me palpait les cuisses, les fesses, une main s'est même glissée sous ma culotte courte pour toucher ma culotte, ça m'excitait vraiment. Pis, une des invités a dit que son assiette était froide. Là, ce fut un grand silence. Monsieur Pal m'a demandé d'aller près de la dame en question, une grosse femme vulgaire, trop maquillée et parlant fort. Elle a reculé sa chaise, m'a couché sur ses genoux et m'a administré une fessée à la main au début doucement puis très très fort... Un homme a dit qu'une fessée ça se donnait cul u alors elle m'a relevé, a enlevé mes bretelles a baissé ma culotte courte et tout de suite m'a déculotté. j'étais là, le zizi à l'air, pendant, et les fesses offertes. Elle m'a recouché sur ses genoux et a repris la fessée à la main. Quand elle cessa, j'avais les fesses en feu. Me relevant j'ai croisé le regard de la jeune femme, elle baissa la tête mais n'avait rien perdu du spectacle. Le jeune homme lui, avait sa main droite sous la table je devinais ce qu'il faisait ! Au fromage, là encore nouvelle bêtise de ma part. Le Monsieur qui releva ma faute ne pris pas la peine de demander quoi que ce soit, il se leva d'un bond, me courba sur la table, me baissa la culotte courte et remonta ma culotte en coton entre mes fesses. Il avait bien entendu comme tout le monde vi les accessoires que Madame Louisette avait laissé à la vue de tous, il alla s'emparer du paddle en cuir et me cingla les fesses avec une rare violence, j'ai gémit, je me suis mis à pleurer contre ma volonté, ça sortait tout seul... il m'a laissé pantelant, je n'arrivais pas à me relever après sa fessée et les commentaires ont fusé "celui ci il résiste bien, on va voir bientôt jusqu'où"... Un autre homme s'est levé et a pris sa ceinture, il vint à moi, me déculotté sèchement et me donna de la ceinture une bonne vingtaine de coups. j'étais effondré, je ne sentais plus mes fesses, elles n'étaient plus qu'un amas rouge et violet. comme je me relevais enfin et voulu me reculotter, ce me fut interdit par Madame Louisette qui me dit que je finirai de servir le repas comme ça, culotte aux chevilles. Marcher n'était pas facile et pas question de faire tomber quoi que ce soit. Lorsque j'ai servi le dessert et me suis approché de la jeune femme, j'ai vu qu'elle regardait mon zizi tout petit ... elle rougit... quant au jeune homme lui, toujours une main sous la table ! et il fut vu ... par une dame aussi sèche que grande... Alors Monsieur Pail s'est levé, est allé direct dur le gars, et a bien vu en le levant de force la bosse qui déformait son pantalon. Il bandait et se caressait, jouissant de mes fessées reçues. Monsieur Paul, aidé par un autre homme l'on prestement mis en caleçon, puis cul nu, il a été courbé sur la table, juste à côté de la jeune femme et il a reçu la canne anglaise directe... il a crié, il a pleuré beaucoup, il a supplié. Une des dames lui a dit alors "je t'avais prévenu, ici ça ne rigole pas et je t'avais dit que les vilains garçons on les punissaient comme ça, tant pis pour toi"... j'ai assisté à sa fessée sans broncher, puis j'ai continué à servir le dessert. Le garçon fut autorisé à s'asseoir mais pas à se reculotter. Je ne savais pas quoi penser... pourquoi elle et lui étaient là en fait ? pour me regarder prendre des fessées? pour en subir aussi ? Après le repas, les deux jeunes et moi avons été faire la vaisselle. Nous nous sommes reculottés, sans rien demander. La jeune femme nous observait et me demanda "alors ça fait quoi ? tu aimes ? je lui ai dit la vérité. Oui, j'ai été marqué très tôt par la fessée, que j'en avais en fait toujours reçu, même à mon âge et qu'il m'en fallait régulièrement. La fille a rougi et a voulu voir l'état de mes fesses... je me suis déculotté et lui ai montré. Elle poussa un Ohh en voyant mes fesses marquées et rouge vif. Et elle se mit à pleurer. je ne comprenais pas pourquoi alors je l'ai prise dans mes bras et les réconforté lui disant que ça ne risquait pas de lui arriver à elle.. Elle me répondit que si, car elle avait fait une faute grave et si elle était là c'était aussi pour être puni. Je n'en revenais pas...

Nous fûmes appelé au salon, et Madame Louisette s'est levé. Elle a expliqué à tout le monde que j'étais en fait un sale morveux qui à mon âge faisait encore pipi à la culotte et que j'aimais recevoir des fessées cul nu devant tout le monde, et que ce weekend j'allais en recevoir tellement que ça allait me passer. Ensuite elle regarda le jeune homme et dit 'lui, si il est là c'est parce qu'il a volé dans le magasin de Madame Michelle, il a été pris sur le fait et il a eu le choix : la gendarmerie ou la fessée"... puis se tournant vers la jeune femme, elle dit "si Nadège est là ce soir, et demain, c'est qu'elle aussi a commis un délit. Cette jeune institutrice s'est permise de donner la fessée déculottée à la petite fille de Madame Simone. Elle est là pour voir ce que cela fait que de se faire déculotter et fesser, ainsi elle ne recommencera plus je pense".

Nadège puisqu'enfin je connaissais son prénom, se mis à pleurer et à demander pardon. En vain. Madame Louisette se leva doucement, puis vint se placer face à Nadège. Elle lui dit "ici, nous sommes un groupe de personnes qui avons toujours connu 'autorité et la juste punition Moi même lorsqu'enseignante j'ai donné des fessées cela a toujours été pour des bonnes raisons, pas pour un rien comme tu l'a fait. Alors maintenant tu vas te laisser faire et tu tires bien car sinon, une plainte et ta carrière est foutue.Et ton directeur d'école, ici présent est de mon avis, ainsi que tes collègues. Nadège allait donc se faire fesser devant son directeur et peut être des collègues ! incroyable mais tellement jouissif !!! C'tait tellement fort que j'en ai fait un petit pipi dans ma culotte...

Alors Nadège en pleurs, fut installée sur les genoux de Madame Louisette qui remonta lentement sa jupe, pour dévoiler à tout le monde moi y compris, une magnifique grande culotte blanche à petites fleurs en coton.... une vraie culotte de gamine.... Madame Louisette commença la fessée directement à grandes claques rapides et fortes... je voyais bouger les fesses de Nadège, je la voyais pleurer je l'entendais crier... puis au bout d'une trentaine peut être plus, de claques, la fessée prit fin... Madame Louisette attrapa l'élastique de la jolie culotte et commença à la baisser. Nadège mit sa main pour empêcher la déculottée mais la déculottée vint et Nadège pleura encore plus, elle était visiblement effondrée, de douleur et d'humiliation. La fessée repris pour un bonne vingtaine de claques et Madame Louisette la releva lui demandant de se pencher sur la table du salon jambes écartées. Là, on pouvait voir les lèvres de son sexe, c'était féérique... Puis Madame Louisette a pris le martinet et a cinglé les cuisses et les fesses de Nadège, qui avait cessé de pleurer, elle gémissait comme absente. Lorsque la fessée fut finie, Madame Louisette lui dt que la prochaine si il y avait prochaine fois, ce serait pire, ce serait comme ce que j'avais reçu.

Puis le jeune homme vit arriver son tour, le vrai... Un gros homme le pris en main, le déculotta aussi vite qu'il s'était levé et le courba lui aussi sur la table du salon. Il pris le paddle en bis et le frappa jusqu'à ce que les cris du gars soient trop fort... ses fesses passaient du rouge au violet et je voyais qu'il allait finir par avoir les fesses en sang. Ce qui arriva. Il fut mis au coin.

Puis, il fut décidé que tout le monde allait se coucher. Et rendez vous demain matin. N'ayant pas été aux toilettes de la journée, je demandais à nouveau les toilettes et je pris une baffe. Madame Louisette et une autre femme me conduisirent à ma chambre, me déshabillèrent entièrement et je fs allongé sur lit. je vis la dame prendre dans l'armoire une couche culotte et elle me l'a mise. Je fus couché, sans un "nonne nuit" en couche culotte. Je n'ai pas insisté, j'avais bien top mal aux fesses pour s=risquer d'en prendre une autre. Il y eut des bruits, des cris, des pleurs, j'entendais de loin.. pis 'endormi.

Le dimanche matin je fus surpris de voir Nadège venir me réveiller et ouvrir les volets. Elle me dit qu'elle avait dormi ici et qu'on lui avait demandé d'aller me réveiller. Je me suis levé, oubliant que je portais une couche culotte... Nadège la regarda, me regarda et me dit "elle est pleine et ça pue"... dans la nuit j'avais fais pipi et caca dans ma couche culotte.... Elle me sourit et me dit qu'elle aussi en portait une. Je lui demandais de me la montrer elle me dit que de toute façon j'avais tout vu de son intimité la veille alors oui, elle leva sa jupe et mon montra sa couche qui elle aussi semblait pleine de pipi.... Je lui demandais si on lui avait proposé de la changer, elle me dit que non et n'avait pas osé l'enlever de peur de la fessée.. On est descendu dans la cuisine, Madame Louisette y était. Elle nous regarda et dit : "ça ne sent pas la rose ici"... elle vint vers moi, me baissa le short que j'avais mis par dessus la couche et me l'enleva. Puis elle enleva la jupe de Nadège on s'est retrouvé tousles deux en couche pleine dans la cuisine sans rien d'autre... On a eu droit à un bol de café et Madame Louisette nous a dit d'aller aider Monsieur Paul dehors. On a bien été obligé de sortir comme ça... ça faisait un drôle d'effet de marcher en canard avec la couche pleine, ce n'était pas désagréable du tout. et je trouvais Nadège sexy en couche culotte. Et là, en arrivant près de Monsieur Paul je vois que celui ci avait un appareil photo et nous prenait en photo. Je cru défaillir car la fessée oui j'aime ça, les couches culottes pourquoi pas mais les photos c'était pas prévu ça... je le lui ai dit et là, il nous apprends que la veille toutes nos fessées ont été filmés et prises en photos. Véridique...

Douche froide, la vraie. Comment un weekend de plaisir à recevoir des fessées et à regarder une nana se prendre des fessées tourne en une seconde en désastre...

... la suite... Bientôt... peut être
 



 

surpris pour avoir volé



'ai volé un martinet... j'avais honte d'aller acheter un martinet dans un bazar ou autre... je vais dans un truc genre solderie, dans une petite bourgade, je repère au rayon animalerie des martinet... j'en prends un, je le glisse sous mon tee shirt, et l'enfonce dans mon short et ma culotte pour qu'il tienne et qu'on voit rien. je vais pour ressortir et la femme à la caisse genre rurale, me chope, m'arrête et et me dit "rendez moi ce que vous avez volé". je fais mine devant les clients à la caisse de n'avoir rien volé, ça dure, je maintiens et son mari arrive, une espèce de rugbyman, chevelu, costaud. il me prend par le bras me le serre bien fort et me demande rendre le martinet volé car ils avaient vu ce que j'avais volé, il devait y avoir des caméras que je n'avais pas remarqué. je refuse. Il me tord le bras, me courbe en deux sur la caisse, soulève mon tee-shirt et dévoile le martinet. Il dit "alors c'est quoi ça" ? je suis confus, je m'excuse et dit que je vais payer, pas faire d 'histoire... lui, sans désemparer, me courbe un peu plus en me tordant plus fort le bras, me baisse le short et la culotte et m'applique sous le regard médusé des clients une dizaine de coups de martinet. je crie je supplie et je me mets à pleurer... il me redresse, me dit qu'il faut payer. j'entends une dame dire "il l'a pas volé celle là !" je suis mort de honte, je paye, je prends le martinet et je m'en vais. J'en ai gardé un souvenir étrange... et cuisant ! jamais j'aurais pensé que l'on puisse me faire ça, comme ça !!!



 

fessée par la mère d'une copine



j'avais 20 ans, je sortais avec une fille, et j'allais souvent chez elle, on jouait ensemble.... sa mère était veuve et très autoritaire, elle me faisait un peu peur et elle menaçait souvent ses filles, devant moi, de leur donner la fessée... alors j'ai demandé à ma copine si c'était vrai que leur mère les fessait sa soeur et elle. Elle me répondit que oui, et qu'en général les fessées étaient données lorsqu'il y avait du monde à a maison afin que ce soit plus humiliant. Elle s'y était faite et supportait sans trop rien dire...je n'en revenais pas, mais elle me disait qu'elle n'avait pas le choix.

Un jour, en fin d'après midi, je ne sais plus pourquoi, on était dans le garage et j'ai soulevé sa jupe et lui ai donné deux claques sur sa culotte... En fait je devais être venu la chercher pour sortir, c'était l'été, et on devait aller faire un match de tennis tous les deux.. Elle était en famille, sa mère, sa grand mère, une de ses tantes et ses enfants (un garçon et une fille, des jumeaux)...

Nous n'avions pas vu que sa mère était aussi au fond du garage occupée à chercher du vin... Mais elle m'a vu soulever la jupe est claquer les fesses de sa fille..... Elle nous a demandé de la suivre au salon. Il ya avait toute la famille.... et la mère a annoncé à tout le monde ce que j'avais fait... j'ai compris tout de suite que ça allait barder pour moi. Mais c'est d'abord vers ma copine qu'elle est allée. Elle l'a saisi et courbé sous son bras gauche, a relevé sa jupe et lui a administré une cuisante fessée d'une trentaine de claques sans s'arrêter, remontant sa culotte entre ses fesses pour bien les dégager.... Françoise s'est laissé faire alors que ses cousins et cousines se moquaient d'elle "la grande fifille qui reçoit la fessée " etc etc... La mère de Françoise a cessé la fessée, a coincé la jupe de ma copine dans l'élastique de sa culotte pour bien montrer les fesses rougies et l'a mise au coin. Puis elle s'est retournée vers moi.... je n'en mener pas large, et j'ai tout se suite compris quand elle a pris une chaise pour s'y asseoir en m'indiquant de venir la rejoindre. j'ai dit non, j'ai protesté... Elle s'est levée, m'a flanqué une claque sur la joue et m'a agrippé le bras me le tordant pour me faire allonger en travers de ses genoux.

et elle a commencé à me fesser sur le short, et sur les cuisses, je ne supportais pas ... ni cette fessée devant tout le monde ni même l'idée de me faire fesser à on âge.

et elle a continué malgré mes protestations et mes grossièretés envers elle. Puis elle a pris le haut de mon short et a entrepris de me le baisser, ce qu'elle parvint à faire malgré mes tentatives pour l'en empêcher. J'étais là, en slip blanc, devant toute la famille de ma copine, en train de montrer ma culotte et de recevoir la fessée, !!!! elle a tout de suite pris l'élastique de mon slip et avant que je comprenne elle m'a déculotté devant tout le monde.... comme n gamin ! et la fessée a repris de plus belle... j'ai vu que ma copine s'était retourné et profitait elle aussi du spectacle.... quand elle eut fini de me fesser la mère m'a relevé, je tenais à peine debout, je me suis reculotté en hâte et elle nous a dit à Françoise et à moi qu'on pouvait maintenant partir jouer au tennis !

avant de monter dans la voiture, ma copine me dit alors "on voit sur tes cuisses malgré ton short que tu as pris la fessée il y a les marques des doigts de ma mère !"... j'ai été pris d'un frisson et j'ai pleuré.... on a quand même été faire notre partie de tennis et je me disais que les gens devaient deviner ce qui m'étais arrivé, c'était troublant....
 

 j'ai été mis en pension très jeune et j'ai du subir bien des tracas en pension et en classe. je n'étais pas un bon élève et j'étais dissipé... alors, comme le règlement était strict et les châtiments corporels clairement annoncés, j'y ai eu droit... souvent, trop souvent à mon goût.


Je me souviens de la première semaine de mon arrivée, j'avais alors une quinzaine d'années et lors d'un cours, et alors que le brouhaha incessant faisait monter la colère de la dame qui nous enseignait l'histoire géo, elle s'est levée d'un bond, a foncé sur un des élèves et l'a attrapé par le bras, l'obligeant à se lever. elle l'a trainé jusqu'à l'estrade, a installé sa chaise au milieu de l'estrade et a entrepris de déboutonner la culotte courte du garçon et elle l'a couché sur ses genoux. Assis au deuxième rang j'étais bien placé pour tout voir... elle l'a frappé sur les fesses avec violence, lui disant qu'elle l'avait prévenu, et le garçon s'est mis à pleurer... je me moquais de lui en parlant à ma voisine de table, elle, elle ne me répondit pas... la prof a cessé la fessée, m'a regardé et m'a dit que si je continuais j'aurais droit à la même chose... je me suis fait tout petit surtout quand j'ai vu la prof baisser le slip du garçon... un ouahhhh s'est entendu dans la classe, je n'en revenais pas, et la fessée a repris... ensuite le garçon, a été mis au coin jusqu'à la récréation.... beaucoup se sont moqués de lui à la récréation, dont moi...

Mais la semaine suivante, alors que j'avais raté un exercice de math, au tableau, le prof s'est levé, m'a tiré par l'oreille, m'a courbé sous son bras et remontant aussi haut que possible la culotte courte pour bien dégager mes cuisses et mes fesses il m'a administré une sacrée fessée, comme ça, sans prévenir.... j'étais meurtri et terrifié, mes cuisses étaient violettes des marques de sa main...

les filles de la classe ont bien ri ce jour là.... car l'après midi, cours d'histoire géo et quand la prof est arrivée dans la classe, j'étais en train de me chamailler avec des gars et des filles de la classe. La prof a claqué la porte, et chacun a repris sa place en silence. Mais la prof avait entendu...Elle me dit alors "il parait que tu as pris une fessée ce matin Julien ?" je n'ai pas répondu et j'ai baissé la tête. Elle m'a alors interrogé sur la leçon que je ne savais pas bien sur !

elle s'est levée, est venue vers moi comme une furie, m'a pris par le bras, m'a conduit sur l'estrade et a installé tranquillement sa chaise au milieu. Elle a dégrafé les bretelles de ma culotte courte qui est tombée toute seule par terre sur mes chevilles, ça l'a fait sourire, et je suis apparu en slip blanc devant toute la classe....j'ai entendu les filles se moquer, rire de moi, de mon humiliation... mais la fessée a commencé et la prof y a été de bonne main !!! je criais je suppliais, mais la fessée a continué... puis, elle a saisi l'élastique de mon slip, j'ai voulu l'empêcher de me déculotter mais bien sur elle est y est parvenue et a exposé à toutes et tous mes petites fesses rondes toutes rouges déjà de la première fessée.. je me suis mis à pleurer à chaudes larmes, je me sentais humilié, blessé, comme jamais... Quand elle a eu fini de me fesser, elle m'a redressé et m'a ordonné de mettre mes mains sur la tête, et c'est ainsi que culotte courte et slip sur les chevilles j'ai du trottiner jusqu'au coin ... tout le monde a vu mes fesses rouges et mon zizi... c'est ma première vraie humiliation mais ce ne fut pas la dernière....
 

  la fessée à la plage comme très souvent l'été, je vais à la plage de la Lède, à côté de Royan, vers La Palmyre... autant il y a une pl...